En mai fais ce qu’il te plaît! Oui, mais… Oui, mais…
12 PISTES POUR APPRENDRE À VIVRE LA VIE QUI VOUS PLAÎT!
En mai, fais ce qu’il te plaît!
OUI, MAIS… OUI, MAIS…
Oui, mais…
Oh, les « oui mais » sont nombreux !
* Oui, mais… que vont penser « les autres »?
* Oui, mais… je ne le mérite pas vraiment!
* Oui, mais… il y a la guerre, c’est terrible!
* Oui, mais… et si ?!
* Oui, mais…. je n’ai pas appris à profiter de la vie, je ne sais pas comment faire, je n’ai jamais su, j’ai longtemps été malheureuse/malheureux, et là, il est trop tard pour changer…
Oh, des « oui, mais », ces saboteurs intérieurs, j’en connais à tire-larigot, en veux-tu en voilà… Et ils m’ont bien souvent retenue de faire ce qu’il me plaît, que ce soit en mai (ou en juillet ou en novembre, ou pendant tous les autres mois de l’année).
Jusqu’à ce que je décide de me prendre en main et de dire STOP à tous ces « oui mais », à cette petite voix intérieure qui me bloque!
Et vous, avez-vous aussi envie de faire davantage de ce qui vous plaît?
Aujourd’hui, je vous propose 12 pistes pour vous aider à construire la vie qui vous plaît!
1. Développez votre intelligence émotionnelle
Considérez les émotions comme des signaux: les émotions ont un message à transmettre, écoutez-le! Puis adoptez le comportement adéquat qui vous permet d’avancer au mieux, selon la situation. Si vous avez peur p. ex., il vaut la peine de se demander si elle est justifiée. Dans ce cas, votre projet exige peut-être davantage de préparation? Ou vous avez besoin de plus d’informations? Et si votre peur n’est pas justifiée, vous pourrez peut-être la transformer en excitation? Votre déprime pourrait se métamorphoser en une rage créatrice? À vous de voir!
2. Soyez altruiste!
Cela vous fera du bien à vous aussi! Mais attention: ne confondez pas altruisme et soumission, ni altruisme et sacrifice (cela vous épuiserait, et à la longue, ne servirait à personne!), et n’endossez pas un rôle de « sauveur »: ce serait voler à la « victime » sa responsabilité d’agir.
Selon le chercheur en psychologie sociale Christophe Haag, les personnes ayant pour habitude de se tourner vers l’autre et de produire des actes bienveillants, sécréteraient même 23% moins de cortisol – l’hormone du stress – que les autres cf. https://amp-madame.lefigaro.fr/bien-etre/psycho/aider-l-autre-c-est-s-aider-soi-pourquoi-l-altruisme-nous-fait-du-bien-20220507).
3. Développez votre conscience!
Arrêtez p. ex. de croire que « tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil », qu’il suffit de voir la vie en rose, et que tout ira bien! Des études l’ont montré: la malveillance, ça existe! Il y a même des gens qui font partie de ce que certains chercheurs ont appelle la « triade sombre »: ils sont narcissiques, machiavéliques et psychopathes (ces « charmants personnages » totaliseraient d’ailleurs près de 10 à 20% de la population). Et tous les autres sont gentils? Que nenni…près de 40 % seraient dans une zone grise: capables d’avoir une certaine empathie, certes, ils auraient aussi des comportements trompeurs, égocentriques ou blessants. Mais (et ça, il ne faut pas oublier!): près de 30 à 50% des gens seraient de vrais gentils, qui se réjouissent du succès des autres, les traitent bien, et ce sans idée derrière la tête! (cf. Haag C. Provoque ta chance, Albin Michel, 2022, p. 186). À mes yeux, à la fois une bonne compagnie et un bon modèle (cf. point 2…).
4. Choisissez bien votre entourage!
Ce conseil découle évidemment naturellement du point 3. Mais: comment faire le tri relationnel? Prendre de la hauteur pour y voir clair et se préserver émotionnellement, éviter certaines personnes, mettre des limites, trouver la bonne distance, ce sont quelques-unes des stratégies que je vous invite à explorer. Parfois, c’est compliqué! Il faut alors ruser un peu. Par exemple choisir de ne voir certaines personnes qu’en compagnie d’autres personnes, ne communiquer que par SMS, E-mail ou… (à voir! à vous de faire ce qui vous plaît, de trouver ce qui vous permet de vous sentir au mieux, d’être aligné(e) avec vos valeurs).
5. Apprenez, apprenez, apprenez! Apprenez dans toutes les situations! Parfois, d’ailleurs, les personnes de la « triade sombre » (cf. point 3) ont leur utilité à cet égard!: elles ont peut-être quelque chose à vous apprendre sur vous-même, une faille dont il vaut mieux prendre soin… Alors foncez, et prenez soin de la faille, apprenez, apprenez…
6. Donnez-vous le droit à l’erreur. Vous n’avez pas besoin d’être parfait pour vous donner le droit de « faire ce qui vous plaît »! Et j’ai envie d’ajouter: ce n’est pas parce que vous n’êtes pas toujours « parfait » que les personnes de la « triade sombre » auraient le droit de vous faire du mal!. Je ne dis pas qu’il faut faire n’importe quoi (est-ce que cela vous plairait vraiment?), mais si vous dérapez, vous pouvez vous excuser, oui, réparer si nécessaire et possible, mais… sans vous rabaisser!
7. Ressourcez-vous, faites des pauses, octroyez-vous de petits plaisirs !
Oui, vous en avez le droit! Et ce même s’il y a la guerre ou d’autres évènements difficiles…. Oui, la guerre c’est terrible! Mais il ne s’agit pas pour autant de renoncer à vivre! Et ce serait même le contraire, ai-je déjà entendu de personnes arrivant de pays en guerre. En effet, il m’est arrivé de donner des cours de français à des réfugiés venant de pays en guerre. Certains me racontaient leurs nuits dans les abris. Les bombes tombaient, mais ils faisaient de la musique, chantaient! « On faisait la fête, car on ne savait pas si ce serait encore possible le lendemain… », m’expliquaient-ils. Au fond, cela vaut pour nous tous. non? Alors, oui, savourez la vie quand et si vous le pouvez!
8. Ne soyez ni dans la dépendance affective, ni dans l’évitement
Nous avons besoin de moments de ressourcement, de partage, de joie… Recherchez le plaisir d’une conversation intéressante, d’un moment de rire, là où ça se présente.
9. Ayez des rêves des projets, mais… attendez-vous aussi aux galères, aux embûches, car elles font partie de la vie!
10. Attendez-vous à des jours où ça va moins bien
Accepter, laissez passer, sans s’enfoncer dans un cercle vicieux de découragement, culpabilité, comportements autodestructeurs. Après la pluie, le beau temps…
11. Faites ce qui vous plaît vraiment!
Quand j’étais enfant, j’entendais souvent : « Il faut » profiter du soleil, « il faut » aller dehors ! Et je peux vous dire que ce « il faut » est resté bien ancré en moi… le problème est que les « il faut » riment rarement avec plaisir! J’ai longtemps eu de la peine à ne pas culpabiliser de ne pas être béatement heureuse les jours où je sortais et où il faisait beau. Non, je n’arrivais pas toujours à « profiter du soleil »! Depuis, je me suis libérée de cette injonction, et je fais… ce qui me plaît, quelle que soit la météo.
12. Faites de votre mieux, et ne vous prenez pas (trop) au sérieux…
je vous conseille d’épicer tout cela d’une bonne cuillérée d’autodérision et de beaucoup d’humilité. Riez quand vous le pouvez!
VOUS AVEZ BESOIN D’AIDE?
Vous aimeriez tant cultiver ces moments où vous êtes parfaitement aligné(e) (pensées – émotions – actions), où tout vous semble léger, où votre énergie vous permet de régler en un tournemain ce qui vous paraissait comme une montagne infranchissable le jour d’avant, où vous attirez les bonnes personnes, où il est facile d’y voir clair, d’agir en accord avec vos valeurs et de faire « ce qui vous paît »? Où tous les « oui mais » et « il faut » disparaissent comme par enchantement? Mais dans votre vie, de tels moments sont trop rares – voire inexistants – et vous aimeriez que cela change, afin de nourrir un délicieux « cercle vertueux » qui vous permettra d’avancer pas à pas vers la vie qui vous convient?
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Amicalement,
Ursula